D’un côté, il y a Sal et Boa Vista, et leurs fantastiques plages mais déjà envahies de multiples chantiers. De l’autre, l’authenticité d’une nature brute, propice à la randonnée, que le petit nombre d’infrastructures prévient contre un tourisme de masse. Partout, résonne la gentillesse souriante des Cap-Verdiens. Et si les autorités se mobilisent pour améliorer le niveau d’accueil – la formation des acteurs du tourisme reste un point faible – et la fiabilité des liaisons interîles, le Cap-Vert pourra alors préserver et mettre à profit son extraordinaire potentiel. Pour mieux dévoiler ici la tranquillité d’un village de pêcheurs, là un spot de wind surf encore vierge.
3 questions à …