A peine entrée dans l’Union européenne, elle célèbre déjà la coquette Sibiu, élue capitale européenne de la culture. De la Roumanie, on connaît – mal – Dracula, alias l’empereur Vlad Tepes, les émouvantes églises en bois des Maramures ou le magnifique delta du Danube. Mais à sa simple évocation, voilà que surgissent aussi les années Ceausescu, les immeubles tristes, balafres citadines, la pauvreté et la pollution. C’est vrai, il y a de tout cela en Roumanie. Mais plus encore : la beauté mystérieuse des Carpates, les fabuleuses églises fortifiées de Transylvanie et le folklore vivace de dizaines de hameaux. Ne retenez que les circuits et autotours parfois étonnants, les logements simples qui font baisser les prix et oubliez vite une image qui parfois la dessert encore. L’authenticité n’est qu’à trois heures de Paris.
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant
Déjà abonné ? Identifiez-vous