Comment ne pas aimer Rio ? C’est une ville qui vous prend, une ville qui ravit. Elle a tout pour elle ! Une forêt gigantesque au cœur de ses entrailles ; des plages à perte de vue, ouvrant sur des flots ponctués d’îlots ; des montagnes qui lui font une allure de reine et dévoilent des panoramas époustouflants. Rio séduit aussi par son rythme, à la fois nonchalant et vif. Un tempo de citadine aux faux airs d’éternelle vacancière, toujours prête à succomber au groove d’une samba ou d’une bossa-nova. D’Ipanema à Santa Teresa, de Barra da Tijuca à Cinelandia, la tonalité change, le style diffère, mais la pulsation est toujours là. On retient de Rio sa bonne humeur et son art de la couleur. Finie l’époque où la métropole chagrine s’abîmait dans la nostalgie d’un rang de capitale, perdu au profit de Brasilia. L’optimisme a repris le dessus. La cité bouge, rénove, crée et invente. C’est bien ce Rio nouveau auquel se consacre aujourd’hui notre dossier.
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