Epidaure, Mycènes, Olympie : des noms célèbres, des visites dopées par le rajeunissement des musées. Mais le Péloponnèse ne se résume pas à cette archéologie classique. Hameaux silencieux agrippés à un mont, tours carrées paradant sur leur colline, fières citadelles éclaboussées de soleil et routes qui s’entortillent autour des orangers ou des oliviers. La production se fait l’écho des sites majeurs, mais s’aventure plus timidement autour de Monemvassia, Gerolimenas ou Methoni, qui combinent découvertes culturelles et détente en bord de mer. De même, la trépidante Patras a été boudée malgré son titre de capitale européenne de la culture. Pourtant, deux aéroports – Araxos près de Patras, et Kalamata dans le Sud – auraient été deux portes d’entrée judicieuses pour des programmes atypiques.
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant
Déjà abonné ? Identifiez-vous