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Édito

Tous au vert !


Publié le : 25.05.2007 I Dernière Mise à jour : 25.05.2007
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Tous au vert ! I Crédit photo Virginie Dennemont

Auteur

  • Virginie Dennemont

A l’heure où nous bouclons cette édition, le Tourisme ne sait toujours pas s’il sera mangé à la sauce « Développement durable » d’Alain Juppé, avec le Transport, ou « Economie, Finances et Emploi » sous la responsabilité de Jean-Louis Borloo. En attendant, dans les instances de la profession, on s’est résigné à ne pas bénéficier d’un ministère dédié, et à ne pas être rattaché directement au Premier ministre, comme cela avait été un temps évoqué. Concernant la Délégation interministérielle à l’organisation des compétences touristiques, la fameuse Dioct mise en avant par la Commission tourisme de l’UMP avant les élections, c’est pas gagné non plus. A l’APS, « on ne communiquera pas sur le sujet avant les législatives », laissant supposer qu’il faudra attendre la deuxième quinzaine de juin, pour être fixé sur la place du secteur au sein du gouvernement. Au Snav, le cœur semble pencher du côté de Jean-Louis Borloo, dont le ministère est « peut-être mieux adapté à la transversalité du tourisme », dixit Georges Colson, tout en étant « pas trop loin de la caisse, même si les agents de voyages n’ont jamais reçu de subventions », et plus proche des questions de fiscalité. Un espoir pour la baisse du taux de TVA sur le réceptif ? Le président du Snav attend aussi d’un ministère englobant les finances, de « mesurer les conséquences économiques des habilitations ». Il espère que le secteur sera au moins « placé sous la responsabilité d’une haute personnalité à rang de ministre ». Un lot de consolation. Et si, contre toute attente, la balance penche finalement du côté du développement durable, les voyagistes qui ont pris une longueur d’avance sur le sujet, comme Voyageurs du Monde, pourront se réjouir. Déjà Air France, qui contribue avec les autres compagnies aériennes à 3 % des émissions mondiales de CO2, donne des gages de bonne volonté dans ce domaine. L’enjeu ? Eviter que les touristes ne se sentent coupables de participer à l’extinction des dauphins, à l’engloutissement des Maldives et d’Alexandrie, et à la fonte des neiges du Kilimandjaro. En résumé, de détruire leur terrain de jeu. Mais au vert ou pas, le futur Monsieur tourisme n’a pas pris ses marques dans « l’électrochoc » annoncé par le gouvernement dans les 100 prochains jours. Les vacances des Français on y pensera… en septembre !

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