La compagnie pourrait être privée de licence dans 3 mois ; le contrat de cession à son prétendu propriétaire n’est pas clair ; et les créanciers organisent la riposte… Beaucoup pour une seule compagnie.
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant
Déjà abonné ? Identifiez-vous