Un mois et demi après la suppression de la commission, le patron d’Amadeus revient sur les débuts de SFM, son logiciel de gestion des frais de services. Selon le bon vieux principe de « la meilleure défense, c’est encore la contre-attaque », il tient à rétablir la vérité. Sans langue de bois, avec franchise et conviction. Et lève le voile sur l’avancée des travaux du GDS pour distribuer les forfaits et le « dynamic packaging ».
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant
Déjà abonné ? Identifiez-vous