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Prudence à tous les voyageurs qui se rendent en Bolivie !


Publié le : 07.11.2019 I Dernière Mise à jour : 07.11.2019
La Bolivie est en proie à des manifestations depuis le 21 octobre dernier. I Crédit photo Adobe Stock

Auteur

  • Manon Gayet

Depuis la publication des résultats de l’élection présidentielle le 21 octobre dernier, le pays s’est embrasé. La prudence est de mise face aux violences.

Le Chili n’est pas le seul pays d’Amérique latine en proie à de fortes tensions sociales. En Bolivie, l’élection présidentielle, dont les résultats ont été publiés le 21 octobre dernier, crée des remous depuis plus de deux semaines. Le président sortant Evo Morales a en effet été réélu dès le premier tour pour un quatrième mandat, un résultat contesté par ses opposants qui l’accusent de fraude.

Dans la plupart des grandes villes boliviennes, des manifestations ont ainsi lieu, « parfois accompagnées d’affrontements » comme l’explique le quai d’Orsay dans une dernière minute publiée sur son site Conseils aux Voyageurs. Les scènes de guérilla urbaine se multiplient dans les rues des grandes villes, notamment la capitale La Paz, expliquent nos confrères de RFI. « C’est dans la ville de Cochabamba que le conflit a été le plus brutal. On compte une soixantaine de blessés et un mort, du côté des opposants [au président réélu, NDLR]. C’est le troisième décès provoqué par le conflit post-électoral qui dure depuis maintenant plus de deux semaines. »

Des postes-frontières fermés mais les aéroports opérationnels

En conséquence, des blocages et des difficultés de circulation sont constatés. A quoi s’ajoute une grève à durée indéterminée dans les principales agglomérations de Bolivie, en particulier Santa Cruz et Cochabamba. « Depuis le 5 novembre, de nombreuses institutions sont bloquées par les manifestants (centres d’impôts, palais de justice, douane, immigration, établissements bancaires…), ce qui rend certaines démarches impossibles », précise le ministère des Affaires étrangères français.

« Les postes-frontières vers l’Argentine et le Brésil sont également bloqués par intermittence et les passages sont lents et difficiles. Un appel à fermer les postes-frontières de Tambo Quemado (vers le Chili) et Desaguadero (vers le Pérou) pour 48 heures à partir du 7 novembre a par ailleurs été lancé. » En revanche, pas de perturbation du côté des aéroports.
Le quai d’Orsay appelle à « la plus grande prudence dans tout le pays ». « Il convient notamment de rester à l’écart des rassemblements et de se tenir informé de l’évolution de la situation avant tout voyage en Bolivie ou tout déplacement à l’intérieur du pays », indique le site.

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