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Patrivia se pose en acteur dynamique des Journées du Patrimoine

Bus & Car - Tourisme de Groupe | Evénements | publié le : 09.09.2021 | Dernière Mise à jour : 09.09.2021

<p>chateau de Saint Projet, dit le chateau de la&nbsp;Reine Margot</p>

Crédit photo

Les Journées Européennes du Patrimoine permettent au grand public de découvrir ou redécouvrir des pépites qui se nichent à proximité. Encore faut-il les connaître et la plateforme se démène pour faire connaître les 570 adresses de sa base de réservation, dont quelques adresses inédites.

La start-up, qui n'en est plus une vraiment, poursuit son développement année après année, en réussissant des levées de fonds, même en période de pandémie, qui témoignent de la confiance dans son modèle économique. Patrivia se présente comme le partenaire privilégié des sites historiques et culturels qui ont besoin à la fois de visibilité et d'outil de réservation.

La plateforme présente un "catalogue" de 570 monuments publics et privés, ouverts à la réservation en ligne pour faciliter l'accès et mieux programmer les visites. Au-delà des "incontournables" châteaux de la Loire ou monuments emblématiques, Patrivia s'emploie à faire connaître des lieux plus discrets mais qui ne manquent pas d'intérêt ou de charme pour autant.

Les 38e Journées Européennes du Patrimoine, les 18 et 19 septembre, sont un coup de projecteur sur ce patrimoine de proximité délaissé ou pas assez connu. Pour ajouter un coup de pouce, Patrivia communique sur une sélection d'adresses originales qui prévoient des animations spéciales pour ce week-end. Parmi elles : le Château de Bosmelet en Normandie entre Rouen et la côte d’Albâtre, un magnifique témoin de l’architecture Louis XIII ;  le domaine du château de Valmer, établi sur un éperon rocheux dominant la vallée de la Brenne sur 300 hectares de coteaux calcaires, avec un vignoble renommé, des jardins en terrasses Renaissance, des terres cultivées et des bois aux arbres bicentenaires. ; ou encore le Château de la Reine Margot dans le Tarn-et-Garonne (photo), construit sur un tumulus gallo-romain à la fin du XIIIe siècle. La Reine Margot qui s’y réfugia durant les guerres de religion en septembre 1585. Après son départ, la chambre fut murée et ce n’est qu’en 1990 qu’elle fut par hasard découverte avec tout son mobilier.

www.patrivia.fr

 

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