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À Toulouse, le 3e aéroport régional vise les 10 millions de passagers

Bus & Car - Tourisme de Groupe | Aérien | publié le : 23.01.2019 | Dernière Mise à jour : 23.01.2019

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L'aéroport de Toulouse-Blagnac a connu en 2018 une hausse de fréquentation de 3,9% et a confirmé sa 3e place sur le podium des aéroports régionaux, pour la deuxième année consécutive.

"C'est une année historique, car pour la première fois le trafic international a dépassé le trafic national", a déclaré Philippe Crébassa, président du directoire, soulignant que le trafic international avait pour sa part progressé de 7,1% sur un an, avec plus de 4,8 millions de passagers.  Le low cost est à la source de la croissance du trafic: en 2018, en hausse de 7,1%, il représente 42,2 % du trafic total de la plateforme. 

Pour 2019, les dirigeants espèrent "une croissance dans le prolongement de celle de 2018 et aimeraient atteindre les 10 millions de passagers, mais ce n'est pas garanti". Cet objectif va dépendre des discussions engagées avec les grands opérateurs mais aussi de l'environnement, "incertain" selon les dirigeants, "eu égard à une contrainte économique globale".

Concernant les projets, ces derniers citent Easy Jet, avec lesquels ils sont en négociations pour le développement du nombre d'avions basés à Toulouse, au nombre de 4 aujourd'hui. Des discussions sont aussi en cours avec Ryanair pour l'implantation d'une base à partir de l'hiver 2019 ou à l'été 2020.

En avril 2015, l'État avait vendu 49,99% du capital de la société de gestion de l'aéroport de Toulouse à Casil Europe, holding française créée par le groupe d'État chinois Shandong High Speed Group et le fonds d'investissement hongkongais Friedmann Pacific Asset Management. L’actionnaire chinois vient d’annoncer son souhait de se retirer s’il ne peut pas contrôler la majorité des parts. En effet, début 2018, l'État a décidé de conserver les 10,01% du capital qu'il possédait encore et sur lesquels Casil avait une option.

Les autres actionnaires sont la Région, le département, la métropole de Toulouse et la Chambre de commerce et d'industrie (CCI), à hauteur de 40%. Un différend avait opposé en 2017 ces actionnaires publics avec Casil Europe, les premiers reprochant au groupe Casil sa volonté de "maximiser le versement de dividendes".  Mais selon les dirigeants d'ATB, "on est arrivé à un accord sur une politique de répartition des dividendes", ont-ils assuré, sans dévoiler les résultats d'exploitation de l'année passée.

 

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