L’année 2018 a vu le lancement de la segmentation thématique des destinations pour accentuer la différenciation. 2019 accentue le mouvement avec 5 nouveaux villages thématisés et une ouverture.
En 2019, Azureva annonce continuer sa transformation « afin de capter une nouvelle clientèle et de répondre à leurs attentes via une personnalisation, une segmentation et une offre synonyme de nouvelles expériences, tout en restant accessible au plus grand nombre ». Cette stratégie s’est illustrée ces dernières années par l’élargissement de l’offre avec la possibilité d’arriver et de partir le jour de son choix, un allongement de la saison d’ouverture, une option « court séjour » (qui représentent 19% du CA) et des actions en direction du tourisme d’affaires (MICE)
Issu du tourisme social, Azureva ne renie pas ses racines mais souhaite participer à sa mutation. Dans cette optique, Azureva mise sur :
- Une nouvelle segmentation : Villages Vacances, Villages Club, Villages à thème, Hôtels et Résidences et Hôtellerie de plein air ;
- Une nouvelle campagne publicitaire sur les écrans du 14 février au 3 mars ;
- l’inauguration d’une résidence de tourisme 3* à Roquebrune-Cap-Martin le 8 février prochain ;
- 5 nouveaux Villages à thème ;
- Le lancement d’un site en anglais au 1er trimestre 2019 ;
- Diversification des canaux de vente ;
- L’évolution du programme de fidélisation.
« Le village vacances dans sa conception originale est devenu un peu désuet et moins attractif. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de re-segmenter notre offre. Nous proposons des Villages Club résolument plus modernes, des Villages Vacances en montagne proposant le ski comme activité principale et des Villages à thème pour offrir à nos clients des activités originales autour de thématique porteuse, sans oublier nos Résidences et l’Hôtellerie de plein air. Nous souhaitons ainsi être précurseur en créant un nouveau modèle économique qui pourrait donner un second souffle au tourisme social qui bénéficie d’une image trop connotée parfois injustifiée » justifie Jean Pochoy, directeur général délégué chez Azureva.