De nouvelles liaisons et une production sur Santander viennent compléter l’offre de séjours sur la Grande-Bretagne et l’Irlande.
Grâce à l’arrivée mi-mars du Cap Finistère dans la flotte, Brittany Ferries va doubler ses lignes vers l’Espagne, assurant 4 rotations hebdomadaires pour Santander depuis Caen-Ouistreham, Cherbourg et Roscoff. Avec ses larges ouvertures sur l’extérieur et sa piscine, ce navire de 1 500 passagers, ex-Superfast Ferry IV qui naviguait dans les eaux grecques, permettra à la compagnie bretonne de mettre l’accent sur le côté croisière de ces longues navigations opérées via Plymouth et Portsmouth.
L’Espagne réalise de fait une percée dans la brochure "Séjours, Traversées et Croisières" 2010 avec une trentaine d’adresses, des autotours de 7 nuits en Paradores, des offres en liberté… Ce catalogue relooké qui arbore la nouvelle signature de Brittany Ferries, "La différence est dans le voyage", affiche également pour la première fois des prix packagés en ferry + hébergement. La production se compose d’allers-retours journée vers l’Angleterre, de week-ends à Cork, et surtout de locations, de séjours thématiques et de circuits en Grande-Bretagne et Irlande via une offre de 2 000 hébergements.
"Réunir nos trois destinations apporte une vision d’ensemble et plus de simplicité à nos clients", explique Florence Gourdon, directrice commerciale et marketing de l’activité passagers France qui génère 21 M€ de chiffre d’affaires annuel, dont 6 M€ pour le tour-operating. Brittany Ferries travaille ainsi avec un millier d’agences de voyages situées à l’ouest d’une ligne allant de la Normandie à l’Aquitaine via l’Ile-de-France. Face à Internet et au call center, ce canal de distribution contribue pour 35% à l’activité passagers France.
Pour animer le marché en ce début d’année, la compagnie propose jusqu’au 15 février une réduction early booking de 15% sur les séjours (hors Londres) ainsi qu’une promotion sur la location de cottages en Irlande. La vente de coffrets voyages lancée en décembre tend par ailleurs à prendre son rythme de croisière.
Stéphane Jaladis