Après Lyon et Paris, l’IEFT s'implante dans la capitale de la Riviera et accueille désormais près de 200 étudiants, soit une progression annoncée de plus de 50%.
L’IEFT, école supérieure de tourisme, vient de faire sa rentrée sur ses campus à Paris, Lyon et, depuis cette année, à Nice. Avec près de 200 étudiants inscrits pour cette nouvelle année scolaire, l’IEFT annonce une progression de plus de 50% par rapport à l’année dernière.
Le nouveau campus à Nice accueille une première promotion d’une vingtaine d’étudiants en bac +3. L'IEFT y voit une reconnaissance de la ville en tant que destination incontournable en France, et de la représentation à l'international du rêve de la "French Riviera".
"Les touristes étrangers se diversifient de plus en plus dans cette zone et l’activité directe et indirecte liée au tourisme augmente chaque année. Il était donc légitime que l’IEFT choisisse de s’y implanter", précise Antoinette Martin Lise, la directrice de l'école, dans un communiqué, soulignant que "le besoin [d'une telle formation] est bien présent car les perspectives de ce secteur sont prometteuses".
Apporter une contribution mesurable aux entreprises
L'école annonce aussi pour l'année 2014-2015 la refonte du niveau bac +3, et se veut "à l'écoute des professionnels du secteur", partenaires, prescripteurs, enseignants et entreprises.
Cela passe par une refonte de "l’ingénierie pédagogique", précise l'école, qui promet des enseignants plus opérationnels "afin de renforcer la capacité des étudiants sortants à prendre en charge des missions liées aux métiers du tourisme" dès leur sortie de l'école, et permettre d'apporter "une contribution mesurable aux entreprises".
L'école souligne aussi l'"accentuation de l’immersion en entreprise", grâce à un calendrier des études "conçu à partir des besoins des entreprises", qui vise "essentiellement à faciliter et diversifier l’expérience entreprise-terrain. Cette organisation alternant jours d’école et jours de terrain, offre aux étudiants la possibilité de passer 60% du temps en entreprise et 40% sur du temps académique".
Enfin, les étudiants devront également "travailler en mode "projet"" avec quatre dossiers à mener tout au long de l’année "en conditions réelles, qui les plongeront dans leur futur environnement métier".