A travers un guide de voyage réalisé en collaboration avec Lonely Planet, la marque renouvelle d’une manière moderne et engagée sa promesse de rencontres, de voyages et de découvertes tout en aiguisant la conscience écologique de ses clients.
Il y a presque trente ans déjà, Aigle et Lonely Planet s’associaient une première fois pour promouvoir la Charte éthique du voyageur. Leur but commun était d’encourager les bonnes pratiques lors de la découverte de destinations lointaines : c’étaient les prémices du tourisme responsable. Aigle était précurseur et aujourd’hui, ces valeurs restent plus que jamais au cœur de la marque.
Aigle continue d’accompagner les envies d’ailleurs des esprits libres en adaptant son propos aux exigences du moment. Elles sont multiples et parfois contradictoires. La mission de Aigle, « ne laisser derrière nous que l’empreinte de nos pas » sert de base aux destinations choisies par les directeurs artistiques de la marque, également à la tête de la création de la marque Etudes.
Des activités en plein air bien sûr, mais à l’empreinte carbone maitrisée. L’idée de cette nouvelle collaboration avec Lonely Planet coulait alors de source : « Aiguiser son regard autant que sa conscience écologique, en (re)découvrant la France ». A travers une sélection d’endroits qui captivent le regard, qui permettent de saisir les transformations urbaines, qui encouragent à flâner pour se ressourcer, qui donne le goût de l’aventure … Aigle invite à une plongée dans la beauté, qu’elle soit naturelle, architecturale ou expérimentale. Au fil des presque 200 pages, richement illustrées, Aigle propose de redécouvrir notre beau pays autrement.
Le guide se découpe en 4 chapitres et répertorie des expériences à faire, seul, en couple, en famille, ou entre amis :
« Villes en mutation », une sélection d’expériences urbaines au grand air pour saisir les transformations citadines, comme se promener au fil de l’eau et des jardins à Metz ou apprendre à mieux manger à la Plantation de Paris.
« Déconnexion libre » propose d’admirer le grand large depuis le cap de la Hague ou de tracer son sillon en stand-up paddle sur le lac d’Aiguebelette.
« Voyage en mouvement » invite de son côté à pister le loup dans le Mercantour, gravir le pic d’Arguibel (et se régaler) dans la vallée des Aldudes, de s’élancer sur les hauts plateaux du Vercors en ski de fond ou de pédaler jusqu’à la source de la Loire.
« Échappées iconiques » compile une sélection de lieux qui frappent l’imaginaire par leur esthétique : l’abbaye de Conque et ses vitraux signés Soulages, le toit de la Cité Radieuse à Marseille ou plus au nord, la villa Cavrois, œuvre emblématique de l’architecte Robert Mallet-Stevens.