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Aube, le parc animalier "Nature sauvage des lacs" veut pouvoir vivre

Bus & Car - Tourisme de Groupe | Loisirs | publié le : 20.08.2020 | Dernière Mise à jour : 20.08.2020

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C’est l’histoire d’une initiative privée qui se heurte à la complexité des autorisations administratives. Le parc animalier de la forêt de Lentilles a ouvert l’an dernier sans toutes les autorisations. La Préfecture ordonne sa fermeture pour la saison.  

Comme l’an dernier le parc animalier "Nature sauvage des lacs" a ouvert ses portes au public au mois de juillet sans autorisation préfectorale. Frédéric Gobert, à l’origine de sa création se heurte depuis deux ans à l’administration du département de l’Aube.
Ce passionné de la faune sauvage possédait déjà des cerfs, des sangliers, des daims et a complété son cheptel depuis 2019 par des autruches, des nandous et des émeus. Il a toujours eu envie de partager sa passion en montrant ses animaux en milieu naturel et a acquis les 56 hectares de la forêt de Lentilles au nord de la Forêt d’Orient. Il a investi un million d’euros dans son parc, ouvert pour la première fois l’an passé. Mais l’administration considère encore qu’il n’a pas toutes les qualités requises et a ordonné la fermeture du parc.

« J’ai fait mes différentes demandes de certificats en temps et en heure », explique Frédéric Gobert. « J’ai découvert qu’il me manquait quelques semaines de stage que j’ai effectuées depuis ».

Une visite de la commission préfectorale en juin dernier a estimé qu’il y a encore « une insuffisance des installations et de leur fonctionnement qui mettent notamment en cause la sécurité des personnes en présence de faune sauvage ». Le 31 juillet la préfecture ordonne la fermeture. 
« Je pense qu’il y a une confusion dans l’esprit de la commission entre un parc naturel, sauvage et un zoo. Il est évident que je ne vais pas raser tous les arbres de la forêt qui n’ont pas poussé droit, car c’est tout l’écosystème de la forêt qui me permet d’accueillir et de faire vivre mes 40 animaux comme il se doit. 
D’autant que notre parc a pour ambition de protéger au mieux les espèces qui y sont représenter en minimisant l’impact humain au maximum. Je ne vais pas modifier la forêt pour la faire ressembler à un zoo », assène le propriétaire dans l’attente de son autorisation.

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