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Comment Washington veut casser son image


Publié le : 08.06.2017 I Dernière Mise à jour : 02.01.2018
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I Crédit photo Elliott Ferguson, le président de Visit Washington D.C., lors de l'IPW. ©Manon Gayet

Du 3 au 7 juin, la capitale américaine a accueilli pour la première fois l’IPW, le plus grand salon américain dédié aux professionnels du tourisme.

Washington, ce n’est pas seulement le terrain de jeu de Franck Underwood dans House of Cards. C’est, en substance, le message passé par Visit Washington D.C. lors de l’IPW. "Au-delà de son statut de capitale américaine, de centre administratif, Washington est un concentré de culture et d’histoire américaines", assure Elliott Ferguson, le président de Visit Washington D.C.

La ville a en effet de sérieux atouts pour séduire le marché français, friand de culture. Avec plus d’une cinquantaine de musées gratuits, Washington offre en effet un panorama éclectique de l’histoire des Etats-Unis. Du musée d’art contemporain au musée de l’air et de l’espace en passant par le Newseum (consacré au premier amendement de la Constitution américaine), il y en a pour tous les goûts.

Le dernier en date, inauguré fin 2016 par Barack Obama peu avant l’élection présidentielle, a ouvert sur le National Mall : le National Museum of Afro-American History and Culture. Tout un symbole.

La capitale américaine est devenue "cool"

Si Elliott Ferguson reconnaît que les infrastructures sont historiquement davantage adaptées à une clientèle business et diplomatique, de plus en plus de produits orientés "loisirs", et notamment pour les familles, émergent. "Le zoo est également gratuit, les hôteliers incluent davantage de chambres communicantes…", détaille le président de Visit Washington D.C.

Et la capitale américaine poursuit ainsi sa mue vers le "cool", thème de sa dernière campagne de communication, intitulée "My DC Cool".

"Washington se découvre à pied ou en vélo, on peut même faire du paddle sur le Potomac [le fleuve qui coule à l’ouest de la ville, ndlr]. Notre scène musicale est très développée, nous sommes la deuxième ville en termes de théâtres derrière New York !", poursuit-il.

Washington espère d’ailleurs sortir de l’ombre de New York City, destination plébiscitée par les Français. Et Elliott Ferguson de lancer un appel au marché hexagonal : "Je suis persuadé que le marché français tombera amoureux de Washington. Après tout, je trouve que la ville ressemble à Paris : elle aussi a son petit côté romantique…"

En 2015, 93 000 Français ont visité Washington. Les chiffres de 2016 ne seront connus qu’à l’automne prochain.

Manon Gayet (à Washington)

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