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Transport

aérien - Crash Egyptair : la deuxième boite noire a été retrouvée


Publié le : 17.06.2016 I Dernière Mise à jour : 17.06.2016
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I Crédit photo La boite noire qui correspond au CVR (Cockpit Voice Recorder) est transportée au laboratoire de l’aviation civile égyptienne au Caire ©wikipedia

L'enregistreur des voix du cockpit a été remontée en morceaux parmi les débris de l’A320 Paris-Le Caire hier, et aujourd'hui c'est au tour de l'enregistreur des paramètres de vol.

Le vol MS804 Paris-Le Caire va peut-être livrer ses secrets. Après le CVR (Cockpit Voice Recorder) retrouvé hier, c'est le FDR (Flight Data Recorder) qui a été remonté de la Méditerranée aujourd'hui, a annoncé la commission d'enquête égyptienne.

Même si le CVR, qui enregistre les bruits et les conversations dans le cockpit, et le FDR, qui enregistre tous les paramètres des vols, ne sont en bon état, dans les deux cas, les équipes de recherches ont pu récupérer "la partie la plus importante de l'enregistreur, qui contient la mémoire de l'appareil", selon la commission d'enquête.

L'Airbus A320 reliant Paris au Caire s'est abîmé le 19 mai avec ses 66 occupants, dont 40 Egyptiens et 15 Français, après avoir soudainement disparu des écrans radar, pour des raisons encore indéterminées.

Les deux enregistreurs de vol doivent être transférés au Caire, où les Egyptiens, épaulés par les experts français du Bureau d'Enquêtes et d'Analyses (BEA) et du constructeur européen Airbus, vont analyser leurs données.

Le transfert vers le laboratoire de l’aviation civile égyptienne au Caire demande une journée de mer. Si les données sont endommagées et illisibles par des méthodes classiques, les mémoires informatiques seront confiées à un autre laboratoire comme celui du BEA au Bourget mieux équipé.

Bruits, alarmes, conversations entre les pilotes et le personnel de bord...

Au pire, c’est le constructeur des enregistreurs de vol qui sera sollicité. Il fera appel au langage de programmation du CVR pour extraire les données. Bruits d’ambiance, alarmes, conversations entre les pilotes mais aussi avec le personnel de bord pourront être entendus, à condition, bien sûr, que le système ait été en état de fonctionner avant l’accident. Ce n’était pas le cas lors du crash du vol Air Algérie au Mali.

Une première lecture devrait permettre de lever plusieurs doutes. Y a-t-il eu intrusion dans le cockpit ? Avec violence ou non ? Quelles alarmes ont retenti (à rapprocher avec les alertes reçues au sol, envoyées automatiquement par les ACARS) ?

T.V. avec AFP

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