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Transport

aérien - Corsair crée une quatrième classe à bord de ses avions


Publié le : 13.05.2016 I Dernière Mise à jour : 13.05.2016
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I Crédit photo La configuration des cabines des trois Boeing B747-400 de Corsair va être entièrement revue cette année. ©TUI

La compagnie du groupe TUI, à l’occasion de la grande révision de ses Boeing B747, reconsidère ses cabines.

Corsair International s’embourgeoise de plus en plus. Depuis cinq ans, la compagnie s’éloigne résolument du statut de transporteur charter de Nouvelles Frontières pour rejoindre le modèle des compagnies régulières classiques avec sa segmentation de l’offre. Et un nouveau pas va être accompli cette année à l’occasion de la "D check" de ses trois Boeing B747-400.

Lors de cette grande visite de maintenance où l’avion est complètement déshabillé, la configuration des cabines sur les deux ponts va être revue. Une vraie classe affaires haut de gamme va être installée avec des fauteuils-lits lie-flat de dernière génération. La classe Grand Large subsistera. La classe Horizon sera divisée en deux avec l’Horizon Plus (susceptible de changer de nom) et la classe économique classique. Cette configuration à quatre classes sera aussi installée sur les quatre Airbus A330. Corsair se dote ainsi des armes pour concurrencer Air France, Air Caraïbes ou Air Austral.

Déploiement accru des Boeing B747-400

Avec un baril à 40 dollars, les Boeing B747-400, quadriréacteurs gourmands en carburant, reviennent en odeur de sainteté. En lançant ces coûteuses grandes visites de maintenance, le groupe TUI semble avoir reporté sine die leurs remplacements. Corsair prévoit de les déployer un peu plus sur son réseau et ne plus les limiter à l’océan Indien, guère accessible en A330 à pleine charge. Ils voleront plus souvent vers les Antilles mais aussi vers l’Afrique (Dakar et Abidjan).

Un B747 est même de sortie ce week-end à La Ferté-Alais, où il sera le plus gros avion jamais présenté à ce meeting traditionnel de la Pentecôte, le plus important de France. A un jet de pierre au sud d’Orly, le champ d’aviation de Cerny permet une présentation au ras des pâquerettes du gros-porteur.

Pour les 20 000 spectateurs présents samedi et dimanche après-midi, cette démonstration offre des vertus pédagogiques. Cela permet, par exemple, de comprendre qu’une remise de gaz est une évolution simple, parfaitement sécurisée. Elle intervient parfois en vol commercial sur un aéroport quand l’avion précédent n’a pas dégagé la piste ou que les conditions de l’atterrissage ne sont pas réunies.

Thierry Vigoureux

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