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Boomerang Voyages relance la marque Club Coralia


Publié le : 04.02.2016 I Dernière Mise à jour : 04.02.2016
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I Crédit photo Olivier Kervella, Pdg de NG Travel, a annoncé ce matin la relance de la larque Club Coralia, lors d'une conférence de presse organisée aujourd'hui au Kappa Club de Thaïlande. ©M.G.

En deux ans, le TO compte ouvrir 15 clubs de cette ancienne marque d'Accor, rachetée l'été dernier.

Fort du succès des Kappa Clubs, NG Travel relance une autre marque de clubs via son TO Boomerang Voyages. Rachetée l’été dernier, Club Coralia, l’ancienne marque d’Accor, doit compléter le concept Kappa Club. "C’est compliqué de trouver des hôtels qui correspondent exactement au cahier des charges Kappa", justifie Olivier Kervella. L’objectif avec la relance des Clubs Coralia : proposer des clubs de vacances traditionnels avec un bon rapport qualité/prix. "On ne va rien inventer mais on va attaquer fort dans les prix pour attirer les familles", a déclaré Victor Magalhaes, directeur des Kappa Clubs. Trois ouvertures sont programmées à la mi-avril en Crète, avec l’Athina Palace (ex-Marmara), le Palmanova à Majorque et le Lipari en Sicile.

Un objectif de 15% du marché des clubs en 2018

Dès l'hiver 2016-2017, Coralia comptera cinq clubs, pour atteindre les 15 établissements en 2018. "On vise 45 clubs chez Boomerang en 2018 avec 200 000 clients club, pour un chiffre d’affaires de 150 M€ soit 15% du marché des clubs », a annoncé le Pdg de NG Travel. En effet, il faut ajouter aux 15 Clubs Coralia les 30 Kappa Clubs que le TO compte avoir d'ici deux ans.

Boomerang affirme ainsi sa volonté de diversifier sa gamme de produits et de devenir un véritable généraliste. En effet, les différentes brochures de Boomerang combinent désormais des circuits, des séjours, des autotours et des clubs. Alors pourquoi avoir tenté de racheter Fram, finalement repris par Karavel-Promovacances, à l’automne dernier ? "Nous aurions utilisé les infrastructures de Fram pour notre nouveau concept de club", explique Olivier Kervella. "Mais c’est finalement un mal pour un bien. Il vaut mieux acheter des marques que des TO !"

Manon Gayet, en Thaïlande

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