Le groupe mauricien, qui compte actuellement six hôtels haut de gamme, ouvrira quatre nouvelles adresses d’ici 2017.
La petite chaîne mauricienne voit grand et annonce l’ouverture de quatre nouveaux établissements d’ici deux ans. "Nous voulons rendre la marque internationale pour diversifier notre portefeuille et limiter les risques liés à une présence uniquement régionale", explique Julian Hagger, directeur ventes et marketing de Lux Resorts & Hotels.
Le groupe, aujourd’hui présent à l’île Maurice avec les hôtels Lux Belle Mare, Lux Le Morne et Lux Grand Gaube, ainsi qu’aux Maldives, à La Réunion et en Chine, ouvrira dès le mois de décembre une seconde adresse en Chine, le long de la rivière Yangtze.
Le boutique-hôtel, composé de 30 chambres, s’inspirera des résidences traditionnelles du Tibet. "Le marché domestique chinois est un axe stratégique de développement", justifie Julian Hagger. Le groupe hôtelier prévoit, au total, d’ouvrir cinq hôtels en Chine pour créer un parcours initiatique jusqu’au Tibet.
Une première adresse au Moyen-Orient
Au second semestre 2016, c’est à La Réunion que le groupe ouvrira, de nouveau, un second resort avec Lux Sud Sauvage, situé à proximité du Piton de la Fournaise. Il s’étendra sur huit hectares de jardins tropicaux et proposera 82 villas toutes équipées de piscine privée.
En parallèle, Lux ouvrira une nouvelle adresse aux Maldives, sur l’atoll de North Malé, composée de 60 villas de luxe ultramodernes. Et fin 2016, la chaîne ouvrira son premier établissement au Moyen-Orient, avec 191 chambres et un golf 18 trous, à 30 minutes de l’aéroport de Dubaï.
"Nous allons créer des combinés entre nos différents resorts situés au Moyen-Orient, à l’île Maurice et aux Maldives", indique-t-il.
Pour harmoniser le portefeuille, Le Récif à La Réunion et le Merville Beach à l’île Maurice, tous deux classés 3* et gérés également par Lux, pourraient être convertis en 5* prochainement.
En revanche, le troisième établissement, Tamassa, garderait son concept 4* all inclusive. "Nous pourrions créer à l’avenir une seconde marque pour développer ce segment", confie Julian Hagger.
C.P.