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J.-P. Mas : "Le Snav cherche une position commune avec l'APST et le Seto"


Publié le : 19.11.2014 I Dernière Mise à jour : 19.11.2014
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I Crédit photo Jean-Pierre Mas, président du Snav, réunit ses adhérents et non-adhérents, demain à 17h. ©Visavu pour Tour Hebdo

Le président du Snav explique ne pas avoir été informé du doublement du calcul de la garantie financière, et tente de définir des solutions acceptables.

Dans un courrier envoyé à ses adhérents, et relayé par l'Echo Touristique aujourd'hui, Jean-Pierre Mas, président du Snav, s'explique sur ses semaines de silence vis-à-vis d'eux (même s'il avait déjà éclairci sa position dans nos colonnes les 4 et 14 novembre derniers), depuis la publication de l'arrêté fixant de nouveaux modes de calcul de la garantie financière.

"Le Snav est silencieux parce qu'il privilégie le travail de fond, écrit-il à ses adhérents, tout en précisant que "le Snav n'a jamais été convié par les services des ministères concernés à la préparation de cet arrêté, jusqu'à la réception du projet d'arrêté à titre confidentiel, fin octobre, quelques jours avant sa publication".

Joint au téléphone cet après-midi, il assure "avoir été informé avant l'été du doublement du montant minimum à 200 000 euros, mais avoir été mis devant le fait accompli en ce qui concerne le doublement du calcul de la garantie", qui passe de 10% à 20% des ventes tourisme réalisées en direct.

Recherche de solutions

Présent au séminaire organisé par l'APST, hier et aujourd'hui à Epernay, il salue "l'esprit positif et la recherche de solutions qui satisfont tout le monde", et rappelle que demain, à 17h, aura lieu une autre réunion au Snav, regroupant les branches d'activité touchées par cet arrêté, que ce soit des distributeurs, des groupistes et des tour-opérateurs, membres et non-membres du Snav.

"C'est au cours de cette réunion que nous allons définir une position commune avec l'APST et le Seto, face aux pouvoirs publics que nous rencontrons lundi prochain", précise-t-il.

Un participant au séminaire d'hier, qui ne tient pas à être cité, espère que "le bon sens financier prévaudra, et que le calcul de la garantie tiendra compte des cycles de trésorerie des entreprises. Sinon, cela va être difficile pour les petites agences, et cela signifie la mort des ventes BtoC pour les TO".

De son côté, Raoul Nabet communiquera demain sur les mesures d'accompagnement décidées pour ses adhérents. Mais cela sera-t-il suffisant pour calmer le jeu ?

Catalina Cueto

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