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Transport

aérien - Crash du vol Air Algérie au Mali : l'info du jour en temps réel


Publié le : 24.07.2014 I Dernière Mise à jour : 24.07.2014
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I Crédit photo Le ministère des Affaires étrangères français a mis en place une cellule de crise concernant le crash du vol d'Air Algérie ©DR

Le vol AH5017 se serait bien écrasé au Nord-Mali, dans la région de Gao. Si le crash est confirmé, il aurait fait 116 victimes dont 51 d'origine française.

19h45

La France a mobilisé tous "ses moyens militaires au Mali" pour retrouver l'avion d'Air Algérie disparu jeudi et qui s'est probablement écrasé, a déclaré le président François Hollande.

La France compte environ un millier de militaires dans le nord du Mali, principalement à Gao, dans le cadre de l'opération Barkhane. Deux avions de combat Mirage 2000 effectuent des vols de reconnaissance pour retrouver l'appareil.

Le Mali, le Niger et l'Algérie mènent également des recherches, selon une source à l'Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna). (Avec AFP).

 

19h08

Le MacDonnell 83 de Swiftair affrété par Air Algérie pour opérer son vol AH5017 avait passé avec succès le contrôle SAFA (Safety Assessment of Foreign Aircraft) de la DGAC (Direction générale de l'aviation civile), le 22 juillet à Marseille. (AFP)


18h28

Plusieurs experts en aviation cité par l'AFP jugent peu probable que le crash de l'avion affrété par Air Algérie, s'il est confirmé, ait été provoqué par la masse orageuse situé sur son passage. Robert Galan, ancien commandant de bord d'Air France, estime les "risques (...) infimes" que la foudre puisse abattre un avion.

C'est aussi l'avis de François Grangier, autre commandant de bord, en activité, qui souligne : "la foudre ne provoque pas de dommages extraordinaires sur un avion". "Je ne trouve pas très crédible" qu'un orage "particulièrement actif" soit à l'origine de la disparition du vol AH 5017, a pour sa part indiqué sur iTélé l'ancien commandant de bord Jean Serrat.

Sur les causes de la disparition de l'avion d'Air Algérie, Jean Serrat évoque "soit un attentat à bord de l'avion, soit, comme pour le MH 17, un projectile lancé contre l'avion", une hypothèse d'après lui "moins crédible, mais tout à fait possible".

Il s'étonne par ailleurs "que plusieurs heures après on n'ait toujours pas trouvé les morceaux", alors que des Mirage 2000 de l'armée française, basés au Tchad, sont à la recherche de l'appareil (avec AFP).


17h23

Fanny Agostini, spécialiste de la météo sur BFMTV, précise que l'avion s'est crashé durant "la saison de la mousson africaine", dans une "zone de convergences intertropicales des alizés, à plus de 10 km de haut" où volent les avions en vitesse de croisière. Elle souligne qu'entre deux et quatre heures du matin, avaient lieu de "gros orages convectifs" à cet endroit. Et ajoute : "l'hypothèse météo n'est pas du tout à négliger". Avant de ne plus donner signe de vie, le pilote de l'avion aurait demandé à changer de route à cause d'une tempête.


17h15

Laurent Fabius, le ministre des Affaires étrangères, a confirmé vers 17h que "malgré des recherches intensives, aucune trace de l'appareil n'a été retrouvé". Il indique que des recherches se concentrent sur une vaste zone du territoire malien autour de la région de Gao. Lire l'allocution du ministre sur le site du Quai d'Orsay.


17h07

Une réunion de crise se tient à l'Elysée autour des différents ministres concernés, dont Manuel Valls et Laurent Fabius. Deux Mirages français survolent la zone au Mali pour localiser les débris de l'avion d'Air Algérie. Fleur Pellerin, secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, aux Français de l'étranger et à la Promotion touristique, sera envoyée sur la zone de l'accident dans les toutes prochaines heures.

Frédéric Cuvillier, le secrétaire d'Etat aux Transports, aux micros des radios et chaînes infos, ne confirme aucune thèse sur les causes de l'accident : "défaillance technique, situation météorologique... Beaucoup trop tôt pour privilégier une piste".

Il est confirmé qu'Alger était un aéroport de transit pour les passagers français à bord. Ils étaient attendus par leurs familles dans les aéroports en France (Roissy, Lyon, Marseille et Toulouse).


16h52

La première liste de passagers fournie par les autorités algériennes fait état de 50 Français, 24 Burkinabés, 8 Libanais, 6 membres d'équipage espagnols, 6 Algériens, 5 Canadiens, 4 Allemands, 2 Luxembourgeois, 1 Malien, 1 Belge, 1 Egyptien, 1 Camerounais, 1 Ukrainien, 1 Roumain, 1 Suisse, et trois personnes dont la nationalité reste à vérifier.


16h13

Vingt Libanais, dont trois femmes et dix enfants, se trouvaient à bord de l'avion d'Air Algérie qui a disparu jeudi alors qu'il assurait la liaison entre Ouagadougou et Alger, a indiqué jeudi une source officielle libanaise à Beyrouth.

"Trois couples avec leurs dix enfants et quatre autres passagers étaient à bord de l'avion", affirmé à l'AFP cette source.

On ignore si parmi ces Libanais certains portaient une double nationalité. Environ 500 Libanais résident au Burkina Faso, selon la source libanaise. (avec AFP).


16h05

Laurent Fabius doit s'exprimer aux alentours de 17h sur le crash du vol AH5017. Rappel : cellule de crise du Quai d'Orsay : + 33 1 43 17 56 46. Voir la page dédiée du ministère des Affaires étrangères.


15h39

"Il y a urgence à connaître les raisons de cette catastrophe; il faut que l'enquête soit très rapide", dans une zone où sévit Aqmi (Al Qaida au Maghreb Islamique), sans exclure de possibles raisons météo, selon François Loncle, Pdt du groupe Amitiés France-Burkina Fasso.

15h16

"Les circonstances rappellent la disparition du vol UTA dans les années 90 au-dessus du Ténéré. On pense plutôt à l'hypothèse d'une bombe à bord" selon Gérard Feldzer, consultant aérien de BFMTV, compte tenu de la soudaineté de la disparition, et de l'altitude de croisière supposée hors de portée des missiles. "La bombe à bord me parait l'hypothèse la plus crédible à ce stade".

15h09

Les autorités maliennes confirment le crash du vol. Du côté des autorités algériennes et d'Air Algérie, on se contente pour l'heure de préciser que des recherches sont en cours pour retrouver l'avion. Les recherches des débris de l'avion sont en cours dans la région de Gao au Mali.

Frédéric Cuvillier, le secrétaire d'Etat des Transports français : une disparition à cause d'un problème météo, sans réaction de l'équipage, cela "parait bizarre". "Aucun message mayday". "Etrange de d'un seul coup cet avion disparaisse qui nous fait penser au pire, comme une bombe à bord". Ecouter l'interview audio de BFM :
























































14h56

Le ministère des Affaires étrangères français a mis en place un numéro d'urgence pour l'avion d'Air Algérie disparu, sans toutefois confirmer la présence de Français à bord.

"Nous procédons actuellement à des vérifications", a déclaré le porte-parole du Quai d'Orsay Romain Nadal, annonçant qu'une cellule de réponse téléphonique avait été mise en place (+ 33 1 43 17 56 46). Voir la page dédiée du ministère des Affaires étrangères.

Il y a "vraisemblablement des Français" à bord de l'appareil, et s'il y a des Français à bord, ils sont "en nombre", a indiqué de son côté le ministère des Transports, qui a mis en place une cellule de crise à la Direction de l'aviation civile. (avec AFP)

14h31

Air Algérie a perdu jeudi le contact à 1h55 GMT ce matin (3h55 heure française) au dessus du Mali avec un de ses appareils transportant au moins 119 passagers et assurant la liaison entre Ouagadougou et Alger, 50 minutes après son décollage de la capitale du Burkina Faso, précise l'AFP.

"L'avion a disparu à Gao, à 500 km de la frontière algérienne (...)", a déclaré le Premier ministre Abdelmalek Sellal cité par la radio.

L'appareil un McDonnell 83, affrété auprès de la compagnie espagnole de leasing Swiftair, transportait, selon Air Algérie, 119 passagers de plusieurs nationalités, dont 7 membres de l'équipage.

A Madrid le syndicat des pilotes de ligne Sepla a fait état de six membres d'équipage qui sont tous espagnols et Swift Air parle de son côté de 120 passagers.

Le secrétaire d'Etat français aux Transports, Frédéric Cuvillier a indiqué qu'il y a "vraisemblablement" des Français et "en nombre", à bord de l'avion ajoutant qu'une "cellule de crise" a été constituée à la direction générale de l'aviation civile française pour vérifier notamment des informations.

Parmi les passagers, se trouvaient deux pilotes d'Air Algérie, ont assuré des proches de l'un d'entre eux, à l'AFP.

Le contact entre les services de navigation et l'équipage a été perdu alors que l'appareil survolait le nord du Mali, près de la frontière algérienne, a précisé à l'AFP une source au sein d'Air Algérie, sous le couvert de l'anonymat.

"L'avion n'était pas loin de la frontière algérienne quand on a demandé à l'équipage de se dérouter à cause d'une mauvaise visibilité et pour éviter un risque de collision avec un autre avion assurant la liaison Alger-Bamako", a-t-elle ajouté. "Le signal a été perdu après le changement de cap", a-t-elle insisté. (avec AFP).


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