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Egypte : Jean-Pierre Mas réagit aux propos de Nahed Rizk de l'OT égyptien en France


Publié le : 20.01.2014 I Dernière Mise à jour : 28.12.2017
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I Crédit photo Jean-Pierre Mas, le président de Selectour Afat, interpelle Nahed Rizk, de l'OT d'Egypte, assurant : "Les réseaux ne sont pas ingrats". ©J-Ph. Glatigny Visavu pour Tour Hebdo-2009

Le président de Selectour Afat répond aux déclarations de la directrice de l'OT, qui met en cause les agences pour expliquer les mauvais résultats de l'Egypte sur le marché français.

Le sujet ne laisse pas indifférent. Tour Hebdo relatait vendredi dernier les propos du ministre du Tourisme égyptien, Hisham Zaazou, et de la directrice de l'office de tourisme de l'Egypte à Paris. Le premier pointait la responsabilité du Quai d'Orsay, et la seconde celle des professionnels du tourisme français, et notamment des réseaux de distribution, pour expliquer la baisse du nombre de touristes tricolores à destination de l'Egypte.

De quoi faire réagir les pros, et en particulier le président de Selectour Afat, le premier réseau d'agences de voyages en France. Jean-Pierre Mas considère en effet que les propos de Nahed Rizk dans l'article de Tour Hebdo "laissent transparaître un brin d’amertume", lorsqu’elle déclare que "même lorsque le Quai d’Orsay ne déconseillait pas la destination, les agents de voyages ne la vendaient pas".

Nous retranscrivons intégralement la suite de la réaction de Jean-Pierre Mas :

"Les réseaux de distribution se seraient, selon Nahed, détournés sans scrupules de "la poule aux œufs d’or". Je comprends le dépit, mais mettre l’insuccès actuel de l’Egypte sur le dos des réseaux de distribution, c’est un peu court.

Les agents de voyages vendent essentiellement à leurs clients les destinations où ces derniers souhaitent aller. Lorsque les informations captées par les futurs voyageurs leur laissent supposer quelques zones d’agitation au Caire, à Alexandrie ou dans le delta, le vendeur doit argumenter sur l’éloignement de la moyenne vallée du Nil ou des plages de la mer Rouge alors que le confort le pousse naturellement à prescrire des destinations pour lesquelles il n’a pas à réfuter des objections.
 
En effet, le voyageur ne choisit que très rarement ses vacances sur la base de considérations politiques du type : "je pars en Tunisie parce que je soutiens sa population qui a dégagé Ben Ali" ou "je vais en Egypte parce que les Frères musulmans ne sont plus au pouvoir".

Que Nahed se rassure, les réseaux ne sont pas ingrats. Chez Selectour Afat, nous conseillons l’Egypte avec un argument d’une grande valeur : il n’y aura pas la cohue, vous pouvez naviguer sur le Nil, profiter pleinement des temples ou des plages de la mer Rouge, à des prix très compétitifs…

Nous sommes également prêts à apporter notre soutien très actif à une opération coordonnée de relance de l’Egypte. Parce que nous avons besoin de l’Egypte tout autant que l’Egypte a besoin de nous."

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