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Transport

aérien - Delta Air Lines privilégie les alliances et les prises de participation


Publié le : 24.05.2013 I Dernière Mise à jour : 09.10.2024
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I Crédit photo Le Pdg de Delta Air Lines, Richard Anderson, lors d'une allocution à l'aéroport JFK à New York. ©DR

La compagnie, leader mondial, poursuit sa croissance.

A la veille de l’ouverture du Terminal 4 à l’aéroport JFK de New York, Richard Anderson, Pdg de Delta Air Lines, a évoqué quelques projets de la compagnie, aujourd’hui la première au monde avec 160 millions de passagers transportés en 2012 vers 317 destinations.

Saluée cette semaine par Wall Street pour sa performance opérationnelle "la meilleure en une décennie", malgré un bénéfice en nette baisse, la compagnie pourrait toutefois céder la première marche du podium à un autre géant résultant de la fusion American Airlines/US Airways.

Atlanta est le principal hub de Delta mais New York joue un rôle essentiel sur le transatlantique, là où, avec 150 liaisons quotidiennes, la compagnie membre de SkyTeam dessert 14 des 15 principaux marchés affaires européens.

La joint-venture transatlantique avec Air France, KLM et Alitalia qui réalise 11 milliards de dollars de chiffre d’affaires par an, est un de ces outils, reliant trois hubs en Europe à six autres aux Etats-Unis.

La joint-venture Delta/Virgin Atlantic vise un marché de 3 Md$

En cours de finalisation, espérée par le Pdg d’ici à la fin de l’année, la joint-venture Delta/Virgin Atlantic vise un marché de 3 milliards de dollars, notamment avec Londres-New York, 2,7 millions de passagers annuels contre 1,2 million au départ de Paris.

Par rapport aux autres alliances, SkyTeam, avec 22% des capacités, se situe sur l’Atlantique-Nord derrière Star Alliance (27%) et devant Oneworld (17%).

On sait que Delta a repris les parts de Singapore Airlines dans Virgin Atlantic. Cette politique de croissance externe s’est poursuivie avec une entrée au capital d’Aeromexico et par des accords avec la low cost brésilienne GOL, déjà partenaire d’Air France.

Pas d'Airbus A380 à l'horizon

Richard Anderson n’est vraiment pas pressé d’investir dans de nouveaux avions. Il ne veut pas de l’Airbus A380 qui offre trop de capacité pour les lignes de son réseau où il privilégie les fréquences.

Il regarde avec attention les performances de l’Airbus A350 par rapport à celles de la version allongée du Boeing B787 Dreamliner.

Laissant ses concurrents essuyer les plâtres, le Pdg, prudent, n’a pas encore tranché pour le moyen-courrier entre l’Airbus A320 NEO et le Boeing B737 MAX.

Ainsi, la flotte compte encore une vingtaine de Douglas DC-9 de trente-cinq ans d’âge, des appareils interdits de vol en Europe car trop bruyants qui intéressent tout juste les ferrailleurs.

T.V.

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