C’est sous le signe de l’innovation que sont lancées les ventes 2018 avec un site pro enrichi et, pour la première fois, des circuits en Europe.
Comme nombre de ses confrères, Visiteurs vient d’ouvrir ses ventes, l’ensemble des départs 2018 à compter du 1er janvier étant désormais accessibles à la réservation.
En attendant que la brochure soit distribuée fin août, les agences peuvent déjà se familiariser avec la nouvelle version du site BtoB "dans la continuité de l’ancien mais avec plus d’options et un look rajeuni".
Une nouvelle offre moyen-courrier
"Il propose peu ou prou les mêmes fonctionnalités", indique Patrice Arezina, directeur commercial et marketing, "car la précédente interface était globalement plébiscitée". Des améliorations ont cependant été apportées. Ainsi, les agences peuvent dorénavant visualiser d’un coup d’œil l’offre de circuits au départ de chaque ville et cliquer ensuite pour avoir le détail. Le site est aussi "plus moderne" avec davantage de visuels.
Si 2018 est "l’année du changement" pour Visiteurs, c’est aussi parce que le spécialiste des circuits se lance en moyen-courrier et ajoute un continent à sa programmation pour les individuels. Après l’Asie-Pacifique, l’Amérique (Nord et sud), le Moyen-Orient, l’Afrique et l’Océan indien, l’Europe, déjà proposée aux groupes, rejoint le sommaire avec 8 destinations.
En prenant pied en Irlande, Ecosse, Norvège et Islande, qui sera programmée été comme hiver, Visiteurs arrive avec une offre de circuits accompagnés qui marche sur les plates-bandes de Celtictours et Vacances Transat.
Cuba est de retour
La Russie (avec un circuit terrestre combinant Moscou et Saint-Petersbourg et une croisière sur la Volga en 10 ou 11 nuits), les Pays Baltes, la Pologne et la Baltique (avec des itinéraires en 14 jours/13nuits), devraient, eux, mettre le TO en concurrence avec les spécialistes de l’Europe de l’Est à un moment où le vieux continent est redevenu tendance.
Parmi les autres nouveautés de 2018, Visiteurs annonce le retour de Cuba, déprogrammée en 2017 vu la tension sur les stocks et les problèmes logistiques qui avaient généré beaucoup d’après-vente.
Pascale Filliâtre